Le Figaro (mercredi 17 janvier 2007) dans un article intitulé "Royal recule, Sarkozy progresse, Bayrou devant Le Pen" rapporte les réactions aux résultats du sondage Ifop (cf. notre post http://sondages2007.over-blog.com/article-5287490.html) : "François Bayrou dépasse pour la première fois Jean-MArie Le Pen, à 12% des intentions de vote contre 10%. En déplacement dans l'Hérault hier, le candidat de l'UDF a jugé ce sondage "encourageant". Tout en émettant des "réserves" sur la fiabilité des enquêtes d'opinion, il a estimé que celle de l'Ifop "valide sa stratégie de dépassement du clivage gauche-droite. [...] Du côté du FN, Marine Le Pen a considéré ce sondage comme "un non évènement"".
En quelques lignes, voici résumé les attitudes adoptées classiquement par les responsables politiques à l'égard des sondages : la satisfaction à l'égard de résultats positif, le doute à l'égard de la technique, l'indifférence affichée à l'égard de résultats défavorables.